Et des jeunes filles voilées, est-ce aussi de la «diversité»?

Il y a longtemps que des femmes musulmanes portent le voile islamique (ou hidjab) à Montréal. Mais depuis quelques années maintenant, on peut également apercevoir de plus en plus de jeunes femmes arborant fièrement l’abaya, soit une longue robe traditionnelle couvrant tout le corps féminin à l’exception du visage et des mains. Visiblement religieux, ce vêtement s’accompagne d’un très long voile et l’ensemble est, disons-le, particulièrement ostentatoire.

En France, l’abaya et le qamis (son équivalent masculin) sont interdits dans les écoles publiques depuis août 2023, le port de ces vêtements religieux étant considéré « une attaque politique » à la laïcité des institutions publiques françaises, un signe clair de « prosélytisme ».

Au centre-ville de Montréal, et avec beaucoup de consternation, on peut également croiser des femmes portant le tchador ou le niqab, ce dernier étant un voile intégral couvrant tout le corps féminin, y compris le visage, à l’exception des yeux. Particulièrement remarquables et imposants, ces vêtements ne sont aucunement une invitation à la communication ni le signe d’une « ouverture » aux autres.

Le port de ces vêtements me semble plutôt relever du prosélytisme, soit un « zèle déployé pour convertir autrui à ses idées, pour tenter d’imposer ses convictions » dans l’espace public québécois.

Il arrive que ces femmes portant rigoureusement un voile intégral déambulent, le cas échéant, avec leurs filles, elles aussi voilées. Dernièrement, j’ai croisé au centre-ville de Montréal une famille dont la mère, une adolescente et deux fillettes portaient toutes un voile. Il m’est arrivé d’en croiser encore d’autres, très jeunes, dans la ville.

En les voyant déambuler ainsi vêtues, on est en droit de se demander si ces jeunes filles voilées encore aux portes de l’enfance font elles aussi partie de la « diversité » célébrée par le multiculturalisme canadien. Plus encore, que pouvons-nous faire, au Québec, comme société égalitaire, pour protéger les jeunes filles de ces choix vestimentaires (relevant forcément de l’autorité parentale à cet âge) et qui m’apparaissent parfaitement sexistes et discriminatoires ?

Habitudes vestimentaires et identité

Devenues adultes, ces jeunes femmes continueront-elles à porter le hidjab ou tout autre habillement religieux porté depuis longtemps ? C’est fort probable. Bien ancré dans leurs habitudes, le port du voile leur paraîtra tout à fait normal.

Il est même fort probable que ce vêtement, par simple accoutumance, devienne une « seconde nature » et leur apparaisse comme un élément clé de leur identité, voire un trait de leur « personnalité », alors qu’il s’agit en réalité d’un objet externe à elle-même et non d’un trait de leur caractère.

Or, un vêtement religieux est bien plus qu’un simple morceau de tissu. Cette étoffe est chargée d’une valeur symbolique et doctrinaire. Le voile porte en lui une signification, véhicule à la fois un message politique et religieux, nous renvoyant inéluctablement à un système de croyances, à des lois et à des valeurs religieuses. Et, quel que soit le type, la grandeur ou le format du voile islamique (hidjab, abaya, niqab, tchador, burqa, etc.), tous ces voiles opaques servent essentiellement à ostraciser les femmes, à dissimuler leur corps, à les invisibiliser dans l’espace public.

Si ces vêtements n’étaient que l’expression de leur foi, de leur piété, les hommes musulmans porteraient alors un foulard, se couvriraient eux aussi de la tête aux pieds. Or, on nous dit que les hommes, eux, n’ont pas à se voiler ni à dissimuler leurs cheveux puisque « l’homme » aurait été créé « à l’image de Dieu », tandis que « la femme », elle, serait « la gloire de l’homme ». Et moi je dis qu’on est au Québec et qu’on tient mordicus à notre laïcité.

Le Devoir encourage la participation à un débat respectueux en fonction de ses règles de modération. Afin d’éviter les débordements, les commentaires ont été fermés à la suite de cette publication.

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La finalité de antillesvoile.com est de débattre de Pratiquer la voile aux antilles en toute authenticité en vous donnant la visibilité de tout ce qui est en lien avec ce thème sur le net Ce texte est reconstitué aussi exactement que possible. Si vous projetez d’apporter quelques modifications sur le thème « Pratiquer la voile aux antilles », vous avez la possibilité de d’échanger avec notre journaliste responsable. Ce dossier autour du sujet « Pratiquer la voile aux antilles » a été trié en ligne par les spécialistes de la rédaction de antillesvoile.com En consultant de manière régulière notre blog vous serez informé des futures parutions.

Solitaire du Figaro Paprec : Hugo Dhallenne, né pour le large

Pour sa deuxième participation, le Malouin d’origine possède tous les atouts pour bien faire sur cette édition 2024. Il a décroché le prix Suzuki de la combativité sur la 2e étape.

Envoyé spécial à Royan

Malouin d’origine, Hugo Dhallenne (YCSL-Primatice-SLB Pharma) a toujours vécu avec de l’eau de mer comme fluide vital. Son père, Arnaud, disparu tragiquement en 2019 lors d’une tempête à 700 milles des îles Malouines, était bien connu du monde de la course au large. Participant à des transats comme la Route du Rhum ou Québec Saint-Malo et par deux fois à la Solitaire du Figaro en 1985 et 1986. Hugo marche donc dans ses pas. Enfant, ses week-ends se déroulaient autour des îles anglo-normandes sur Pen Duick VI, accompagnant son géniteur avec des clients en croisière. Adolescent, lors de ses grandes vacances, le même bateau emblématique le menait vers l’Islande, le Groenland, les Antilles et même sur une traversée du Pacifique. «Des souvenirs extraordinaires. À 14 ans, se retrouver sur le pont d’un bateau, tout seul à la barre en pleine nuit pour aller au Groenland, c’est énorme. Depuis, je me sens à l’aise sur l’eau», explique celui qui fêtera ses 34 ans à la fin du mois.

Les études sont sérieuses. Après une licence pro en système électronique marine embarquée à Brest, Hugo Dhallenne se retrouve en stage avec Benoît Charon sur le Tour de France Voile en M 34, gérant l’électronique et la performance du bateau tout en naviguant. C’est ensuite devenu son métier, il est à son compte depuis 2013 : «J’ai fait des Minis, des Class40, des Multi 50 et j’ai suivi deux Imoca sur le Vendée Globe 2020. Là, je continue à faire des Class40 hors saison Figaro. Un cet hiver et le prochain à l’automne. Lors de la construction du multicoque de Thibaut Vauchel-Camus à Dubaï en 2017, j’ai craqué. Je me suis dit que c’était le moment pour moi de faire du bateau en compétition. Entre deux voyages aux Émirats, je me suis arrêté au Salon nautique de Paris pour commander un Maxi 6.50 au chantier IDB Marine, le premier scow de série. Commence alors en 2019 mes trois années sur le circuit Mini.» 

J’ai pratiquement tout gagné en 2021. Une super saison où tout s’alignait parfaitement. Jusqu’à une victoire sur la Mini Transat

Hugo Dhallenne

Les résultats sont là. Après la période Covid, il gagne la PLM à Lorient en double avec Thibaut Vauchel-Camus : «Cela a déclenché en moi un petit truc. J’ai pratiquement tout gagné en 2021. Une super saison où tout s’alignait parfaitement. Jusqu’à une victoire sur la Mini Transat. C’est là que le Yacht Club de Saint-Lunaire a commencé à m’aider pour trouver des partenaires. Le retour à la réalité est dur et je me retrouve à tirer des câbles au fond des bateaux. Mais l’envie de refaire du bateau en solitaire est toujours là. L’envie de faire du Figaro est très très forte.»

L’année 2023 et le début de la nouvelle aventure d’Hugo Dhallenne : «Je trouve un bateau pas trop cher pour la saison. Je fais la Transat Paprec avec Chloé Le Bars (Endobreizh). En m’entraînant en parallèle à Port-la-Forêt avec elle et avec Bertrand Pacé à Lorient en solitaire. Je progresse énormément. Apprenant plein de choses car les gens partagent. Sur la Solitaire, je fais une super 2e étape, 30 heures en tête, mais un DST nous a séparés des leaders et j’ai passé une nuit gratuite devant Roscoff à attendre le vent. Je termine avec 15 heures de retard. C’était rédhibitoire et je le digère mal. Mais il fallait vite rebondir pour la saison suivante.»

Pour trouver des partenaires, bien naviguer ne suffit pas. Il faut des réseaux. Je m’emploie à m’améliorer pour me vendre

Hugo Dhallenne

Avec un budget moindre cette année, il est donc de retour, avec toujours le mors aux dents : «Je reviens avec le bateau qui appartient à Franck Cammas. Un bateau qui a manqué d’amour pendant deux ans sur un parking. Il y a eu un échange de bons procédés en début d’année. Une mise à disposition du Figaro Beneteau 3 en échange de sa remise en état. Avec une location pour la Solitaire. Un coup de main qui fait du bien. Pour trouver des partenaires, bien naviguer ne suffit pas. Il faut des réseaux. Je m’emploie à m’améliorer pour me vendre. Vendre quelque chose est plus facile que se vendre soi-même. Même avec les mécènes et sponsors qui me suivent, je suis à 20-30% des budgets de certains. Je suis parti malgré tout avec des voiles neuves grâce à SLB Pharma. L’année dernière était en voiles d’occasion, je sens la différence.»

Sur cette 55e édition de la Solitaire du Figaro, Hugo Dhallenne fait mieux que se défendre en étant 4e à 1 heure et 1 minute du leader Tom Dolan (Smurfit Kappa-Kingspan). Obtenant le prix Suzuki de la combativité  sur la 2e étape. «L’objectif était de faire un Top 10, pour l’instant je suis dedans. Cette saison, ne me battant pas pour le classement bizuth, je navigue plus libéré, tentant des choses quand je le sens. C’est beaucoup plus agréable sans regarder dans le rétroviseur pour voir où sont les copains. On prend du plaisir en prenant des risques», conclut le papa de deux filles de 4 et 2 ans.

La finalité de antillesvoile.com est de débattre de Pratiquer la voile aux antilles en toute authenticité en vous donnant la visibilité de tout ce qui est en lien avec ce thème sur le net Ce texte est reconstitué aussi exactement que possible. Si vous projetez d’apporter quelques modifications sur le thème « Pratiquer la voile aux antilles », vous avez la possibilité de d’échanger avec notre journaliste responsable. Ce dossier autour du sujet « Pratiquer la voile aux antilles » a été trié en ligne par les spécialistes de la rédaction de antillesvoile.com En consultant de manière régulière notre blog vous serez informé des futures parutions.

Solitaire du Figaro Paprec : Hugo Dhalenne, né pour le large

Pour sa deuxième participation, le Malouin d’origine possède tous les atouts pour bien faire sur cette édition 2024. Il a décroché le prix Suzuki de la combativité sur la 2e étape.

Envoyé spécial à Royan

Malouin d’origine, Hugo Dhallenne (YCSL-Primatice-SLB Pharma) a toujours vécu avec de l’eau de mer comme fluide vital. Son père, Arnaud, disparu tragiquement en 2019 lors d’une tempête à 700 milles des îles Malouines, était bien connu du monde de la course au large. Participant à des transats comme la Route du Rhum ou Québec Saint-Malo et par deux fois à la Solitaire du Figaro en 1985 et 1986. Hugo marche donc dans ses pas. Enfant, ses week-ends se déroulaient autour des îles anglo-normandes sur Pen Duick VI, accompagnant son géniteur avec des clients en croisière. Adolescent, lors de ses grandes vacances, le même bateau emblématique le menait vers l’Islande, le Groenland, les Antilles et même sur une traversée du Pacifique. «Des souvenirs extraordinaires. À 14 ans, se retrouver sur le pont d’un bateau, tout seul à la barre en pleine nuit pour aller au Groenland, c’est énorme. Depuis, je me sens à l’aise sur l’eau», explique celui qui fêtera ses 34 ans à la fin du mois.

Les études sont sérieuses. Après une licence pro en système électronique marine embarquée à Brest, Hugo Dhallenne se retrouve en stage avec Benoît Charon sur le Tour de France Voile en M 34, gérant l’électronique et la performance du bateau tout en naviguant. C’est ensuite devenu son métier, il est à son compte depuis 2013 : «J’ai fait des Minis, des Class40, des Multi 50 et j’ai suivi deux Imoca sur le Vendée Globe 2020. Là, je continue à faire des Class40 hors saison Figaro. Un cet hiver et le prochain à l’automne. Lors de la construction du multicoque de Thibaut Vauchel-Camus à Dubaï en 2017, j’ai craqué. Je me suis dit que c’était le moment pour moi de faire du bateau en compétition. Entre deux voyages aux Émirats, je me suis arrêté au Salon nautique de Paris pour commander un Maxi 6.50 au chantier IDB Marine, le premier scow de série. Commence alors en 2019 mes trois années sur le circuit Mini.» 

J’ai pratiquement tout gagné en 2021. Une super saison où tout s’alignait parfaitement. Jusqu’à une victoire sur la Mini Transat

Hugo Dhallenne

Les résultats sont là. Après la période Covid, il gagne la PLM à Lorient en double avec Thibaut Vauchel-Camus : «Cela a déclenché en moi un petit truc. J’ai pratiquement tout gagné en 2021. Une super saison où tout s’alignait parfaitement. Jusqu’à une victoire sur la Mini Transat. C’est là que le Yacht Club de Saint-Lunaire a commencé à m’aider pour trouver des partenaires. Le retour à la réalité est dur et je me retrouve à tirer des câbles au fond des bateaux. Mais l’envie de refaire du bateau en solitaire est toujours là. L’envie de faire du Figaro est très très forte.»

L’année 2023 et le début de la nouvelle aventure d’Hugo Dhallenne : «Je trouve un bateau pas trop cher pour la saison. Je fais la Transat Paprec avec Chloé Le Bars (Endobreizh). En m’entraînant en parallèle à Port-la-Forêt avec elle et avec Bertrand Pacé à Lorient en solitaire. Je progresse énormément. Apprenant plein de choses car les gens partagent. Sur la Solitaire, je fais une super 2e étape, 30 heures en tête, mais un DST nous a séparés des leaders et j’ai passé une nuit gratuite devant Roscoff à attendre le vent. Je termine avec 15 heures de retard. C’était rédhibitoire et je le digère mal. Mais il fallait vite rebondir pour la saison suivante.»

Pour trouver des partenaires, bien naviguer ne suffit pas. Il faut des réseaux. Je m’emploie à m’améliorer pour me vendre

Hugo Dhallenne

Avec un budget moindre cette année, il est donc de retour, avec toujours le mors aux dents : «Je reviens avec le bateau qui appartient à Franck Cammas. Un bateau qui a manqué d’amour pendant deux ans sur un parking. Il y a eu un échange de bons procédés en début d’année. Une mise à disposition du Figaro Beneteau 3 en échange de sa remise en état. Avec une location pour la Solitaire. Un coup de main qui fait du bien. Pour trouver des partenaires, bien naviguer ne suffit pas. Il faut des réseaux. Je m’emploie à m’améliorer pour me vendre. Vendre quelque chose est plus facile que se vendre soi-même. Même avec les mécènes et sponsors qui me suivent, je suis à 20-30% des budgets de certains. Je suis parti malgré tout avec des voiles neuves grâce à SLB Pharma. L’année dernière était en voiles d’occasion, je sens la différence.»

Sur cette 55e édition de la Solitaire du Figaro, Hugo Dhallenne fait mieux que se défendre en étant 4e à 1 heure et 1 minute du leader Tom Dolan (Smurfit Kappa-Kingspan). Obtenant le prix Suzuki de la combativité  sur la 2e étape. «L’objectif était de faire un Top 10, pour l’instant je suis dedans. Cette saison, ne me battant pas pour le classement bizuth, je navigue plus libéré, tentant des choses quand je le sens. C’est beaucoup plus agréable sans regarder dans le rétroviseur pour voir où sont les copains. On prend du plaisir en prenant des risques», conclut le papa de deux filles de 4 et 2 ans.

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Mission scientifique dans l’Atlantique : un voilier part d’Anglet et met le cap sur le Brésil

Des bises à la famille, quelques larmes. Ambiance de départ avec une bonne dose d’émotion ce mercredi 4 septembre en fin de matinée sur les pontons du port de plaisance d’Anglet. C’est là que le bateau de l’opération Heol a ouvert ses voiles pour le grand large. Les trois jeunes gens à la barre, Pette Berrogain, Alexandre Bely et le capitaine Charles Defontaine, mettent le cap sur les côtes espagnoles et portugaises. Puis l’équipage va, à bord du voilier modèle First 30, se diriger vers le Cap-Vert, avant de traverser l’Atlantique vers les Antilles et finir son périple au Brésil. Le tout en quatre ou six mois afin de réaliser une série d’expériences scientifiques.

Utilisation d’un hydrophone

Sensibles aux enjeux écologiques, les trois amis d’enfance vont réaliser trois types d’expériences. Dans un premier temps des études sur les cétacés. L’objectif est de mieux comprendre leurs mouvements saisonniers et leur répartition sur les zones étudiées. Pour cela, un hydrophone, permettant de capter les sons sous l’eau, va être utilisé. Secondo : des prélèvements de sargasses. « Ce sont des algues qui prolifèrent et détruisent les écosystèmes et nous voulons comprendre quelles sont les conditions dans lesquelles elles se développent », explique Charles Defontaine. Enfin, ils vont procéder à des relevés de planctons. « Cela se fera dans les zones de mouillage et en pleine mer, puis les échantillons seront envoyés en métropole pour analyses », précise le capitaine.

Budget de 35.000 euros

Les missions ont été commandées par l’association Astrobal qui a pour objectif d’œuvrer à la compréhension et la préservation de l’Océan en impliquant la société civile et académique dans la recherche participative marine. Le projet a nécessité un budget global de 35.000 euros environ avec l’aide de plusieurs partenaires.

L'équipage en bleu clair avec les proches peu avant de mettre les voiles
L’équipage en bleu clair avec les proches peu avant de mettre les voiles © Radio FrancePaul Nicolaï

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A bord de son minuscule voilier Baluchon, le Breton Yann Quenet fait escale sur une petite île au large de l’Afrique

Parti le 20 juin 2024 du port du Légué à Saint-Brieuc pour un nouveau long voyage à travers les mers du globe, Yann Quenet est arrivé il y a quelques jours à La Gomera, l’une des îles des Canaries, à bord de Baluchon, son petit voilier de quatre mètres de long.

« Baluchon va très bien !« , assure l’aventurier briochin, qui a construit lui-même son bateau dans son garage à Saint-Brieuc. « J’ai effectué quelques modifications depuis le premier voyage, donc il a un comportement un peu différent, et il a fallu qu’on se réhabitue à naviguer ensemble, mais je n’ai pas eu de mauvaises surprises« .

Un slalom au milieu des cargos géants

Avant cette escale à La Gomera, Yann Quenet a fait étape à La Corogne et à Madère. Le petit voilier a dû « slalomer entre des mastodontes » au large du détroit de Gibraltar. « C’est l’autoroute des cargos, ils sont énormes par rapport à Baluchon – certains porte-conteneurs mesurent plus de 400 mètres de long, 100 fois plus longs que le micro-bateau de Yann Quenet – il faut être très vigilant car ils ne me voient pas du tout, c’est à moi de faire attention« .

Dans les ports où il fait escale, en revanche, Baluchon ne passe pas inaperçu.

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Un peu de patience avant de traverser l’Atlantique

« Il ne faut pas que je me presse trop, car ce n’est pas la bonne saison pour traverser l’Atlantique, c’est la saison cyclonique. Donc, il faut traînasser un petit peu, et ce n’est pas désagréable« . Yann compte rester encore « une semaine ou deux à La Gomera » avant de rallier les îles du Cap-Vert, plus au sud. « À ce moment-là, mi-octobre, début novembre, ce sera la bonne période pour aller jusqu’aux Caraïbes« .

Fidèle à son habitude, Yann Quenet ne sait pas précisément où il fera escale. « Pour l’instant, ce qui est prévu, ce sont les Antilles, mais si l’envie d’aller voir ailleurs me prend, je peux bifurquer de mon plan ; je pourrais peut-être visiter la Guyane si ça me chante« . Et la boucle par le Canada pour « réaliser un vieux rêve de gamin, couper du bois, marcher dans la neige avec des raquettes« , dont il parlait avant de partir ? « Oh, ce sera pour l’année prochaine, pour l’instant je me concentre sur les prochaines étapes« , répond Yann.

Rappelons que son voyage doit durer « trois, quatre ou… dix ans !« 

Traversée Madère/Les îles Canaries ÉPISODE 48

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Rassemblement amical et sans classement: ce qu’il faut retenir des 13e Voiles classiques de Sanary

Pour la vingtaine de voiliers de tradition ayant participé le week-end dernier aux 13e Voiles classiques de Sanary, le vent s’est un peu fait désirer… Pas de quoi cependant gâcher la fête pour la centaine d’équipiers qui ont manœuvré ces merveilles du patrimoine maritime mouillant à Sanary ou dans les ports voisins comme La Ciotat ou Marseille. Plutôt qu’une régate, l’événement organisé par la Société nautique de Sanary était un rassemblement amical, sans classement mais conclu par une baignade!

Nagaïna, un roman d’aventures!

Nagaïna, l’un des voiliers invités venu de Marseille, mêle réalité et fiction… Le nom de ce magnifique cotre bermudien de 16,50 m est la féminisation de Naagh, le boa noir du Livre de la jungle de Kipling. Il a été commandé en 1950 par le docteur Combastet pour sa fille en même temps que Naagh pour lui-même, son « grand frère » de 20,50 m! Ces presque jumeaux n’ont pourtant pas le même père car c’est François Camatte qui dessina les lignes élégantes et performantes de Nagaïna, construit à Cannes par Chiesa.

Suite de l’épopée avec son troisième propriétaire, l’entrepreneur aventurier Louis-Henri Mouren, parent des armateurs actuels, Nathalie et Frédéric Berthoz. Après un « refit » complet de deux ans aux anciens chantiers sanaryens des Baux, préservant les superbes acajous d’origine et la mâture en pin d’Oregon, ils l’ont allégé des 300 kg de plaques de cuivre qui recouvraient sa coque immergée pour la protéger des parasites « car c’est intéressant de voir l’état du bois en dessous! », précise Frédéric. Depuis, le couple et son équipage ont multiplié régates et voyages, jusqu’aux Antilles.

La voile classique passionnément

En plus d’être un marin accompli, Frédéric Berthoz préside aussi l’AFYT, l’Association française des yachts de tradition, ainsi que le CIM, son équivalent méditerranéen. L’AFYT fait vivre ses 140 bateaux adhérents à travers un programme annuel de douze régates classiques de Marseille à la Corse en passant par Saint-Tropez, Antibes et Cannes, jusqu’à Malte avec le Trophée Bailli de Suffren, fin juin.

Sanary fait depuis peu partie de ce circuit, étape de la Coupe de printemps du Yacht-Club de France. Pour rendre ces compétitions équitables entre des unités de tailles (de 5 m à plus de 30 m) et d’époques très diverses (catégories « époque » antérieure à 1950 et « classique » de 1950 à 1975), l’AFYT délivre des certificats de jauge, critères de temps compensé. Prochain rendez-vous pour Nagaïna à la Juris’Cup, mi-septembre!

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Le plus grand voilier-cargo moderne achève son premier voyage

Le navire français Anemos, plus grand voilier-cargo de l’ère moderne, a achevé mardi son premier voyage, entre Le Havre et New York, nouvelle étape du renouveau du transport de marchandises à la voile. Il aura fallu 18 jours à ce bateau de 81 m de long pour acheminer plus de mille tonnes de marchandises à travers l’Atlantique, selon la compagnie TOWT.

«Ce sont les voiliers-cargo les plus grands du monde et nous commençons à avoir un impact» sur le transport maritime, a commenté à l’AFP Guillaume Le Grand, président de TOWT. La sœur jumelle d’Anemos, Artemis, doit s’élancer mercredi du Vietnam pour son voyage inaugural. «Nous étions chargés à plein sur cette traversée et la demande est soutenue», a expliqué le responsable. À bord, notamment, du champagne, du cognac et de la confiture.

Premier voyage «un peu compliqué»

Six autres navires du même type ont déjà été commandés aux chantiers Piriou de Concarneau (Finistère), l’ensemble de la flotte devant être opérationnelle d’ici 2027. Fondé en 2011, TOWT est aujourd’hui le premier transporteur français de marchandises à la voile. Selon la compagnie, les émissions de dioxyde de carbone de ses navires sont inférieures d’environ 90% à celles d’un porte-conteneurs traditionnel.

Ce premier voyage aura été «un peu compliqué», a concédé le capitaine, Hadrien Busson. «Nous améliorons le positionnement des voiles», a-t-il expliqué. Énergie gratuite et largement disponible, le vent est déjà utilisé par une quarantaine de gros cargos dans le monde, selon l’International Windship Association.

Une goutte d’eau dans une flotte mondiale qui compte plus de 105.000 navires de plus de 100 tonnes. D’autant que la voile n’est aujourd’hui utilisée que comme force d’appoint, permettant des économies en carburant qui dépassent rarement les 20%, selon le système utilisé (rotors, aile rigide, kite). Anemos va maintenant rallier Santa-Marta, en Colombie, avant de revenir au Havre, les cales pleines. Environ une douzaine d’allers-retours sont prévus chaque année au départ du Havre.

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Y aller et contacter

Une agence spécialisée dans la location de villas de luxe à Rivière-Salée.

Antilles Exception est une agence spécialisée dans la location de villas de luxe dans toutes les Antilles. Elle fait office de pionnière dans le domaine avec plus de 12 années d’expérience. La sélection des villas est effectuée de façon drastique afin de garantir des prestations irréprochables. L’équipe présente sur chaque île est réellement experte et sait conseiller les clients et les orienter vers l’hébergement qui correspond le mieux à leurs attentes. Durant le séjour, permanence téléphonique 7j/7 afin de pallier les éventuels aléas. 

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Voile: Coupe de l’America 2024: mode d’emploi

Publié29. août 2024, 09:24

VoileCoupe de l’America 2024: mode d’emploi

Dix-sept ans après sa victoire à l’épreuve de voile la plus prestigieuse au monde, Alinghi Red Bull Racing est prêt pour la 37e America’s Cup. L’équipe se prépare à disputer, dès ce jeudi à Barcelone, les premières courses de la Louis Vuitton Cup.

Christian Maillard
par
Ernesto Bertarelli et son team d’Alinghi vise une fois encore l'aiguière d'argent, comme en 2003.

Ernesto Bertarelli et son team d’Alinghi vise une fois encore l’aiguière d’argent, comme en 2003.

TAMEDIA/LAURENT GUIRAUD

Cela fait 173 ans qu’ils se battent avec des bateaux sur l’eau pour gagner une Coupe aussi vilaine que le vase jaune décerné chaque année au champion de Suisse de hockey sur glace. Son nom: l’aiguière d’argent, qui reste aujourd’hui le trophée le plus poussiéreux de la planète encore en jeu. A Barcelone, ils sont six équipages à le convoiter, en rêvant tous de pouvoir défier en octobre le Team New Zeland, dont l’Alinghi Red Bull Racing d’Ernesto Bertarelli qui renaît à l’ambition dix-sept ans après sa victoire à Auckland.

Après les épreuves préliminaires, où tout le monde a pu se jauger et se décortiquer, place désormais aux choses sérieuses sur cette 37e édition de la Coupe de l’America avec ce jeudi la première étape de la Louis Vuitton Cup (dès 14h) où les AC75 vont une fois encore voler sur la Méditerranée à plus de 100 km/h. Tous ces foils, qui se préparent depuis des années, sont impressionnants, à couper le souffle.

La semaine dernière, le défi Suisse a révélé une tactique de pré-départ bien coordonnée et combative qui lui a permis de prendre l’avantage au début de plusieurs matches. «Nous avons enfin eu l’occasion de nous mesurer aux plus grands spécialistes de match-race et comparer notre niveau», a expliqué dans un communiqué Silvio Arrivabene, co-directeur général de l’équipe genevoise. «Tout le travail que nous avons mis en entraînement sur les pré-départs se révèle payant, car l’équipe a pris des départs vraiment excellents.» Sera-ce suffisant, sachant que la «fusée» de la Société nautique de Genève, qui a même cassé son mât, a perdu la majorité de ses duels?

L’équipage suisse n’a gagné qu’une fois lors des régates préliminaires. Mais les choses sérieuses commencent ce jeudi avdec la Louis Vuitton Cup.

L’équipage suisse n’a gagné qu’une fois lors des régates préliminaires. Mais les choses sérieuses commencent ce jeudi avdec la Louis Vuitton Cup.

DR/Alinghi Red Bull

«Nous savons que nous avons un bateau qui peut gagner des matches et un équipage capable de bien naviguer, affirme le skipper Arnaud Psarofaghis. Nous allons enfin régater pour de bon et nous avons soif d’en découdre. Nous sommes vraiment impatients de courir contre nos adversaires.» Cela s’appelle la Méthode Coué.

«Nous allons enfin régater pour de bon et nous avons soif d’en découdre.»

Arnaud Psarofaghis, skipper d’Alinghi Red Bull Racing

Les trois jours de pause ont,, selon les Helvètes, permis à Alinghi Red Bull Racing d’améliorer la vitesse du prototype. Pour son premier défi de la Louis Vuitton Cup jeudi, Alinghi Red Bull Racing sera opposé au Challenger français que les Genevois avaient battu lors des régates préliminaires.

Le règlement

Cinq équipes vont s’affronter jusqu’au 5 octobre dans une série de «tête-à-tête» pour déterminer qui aura le droit de rencontrer les champions en titre, Emirates New Zealand, dans une finale de la Coupe de l’America prévue du 12 au 21 octobre.

Les cinq teams en lice commencent par se mesurer deux fois. Au final, les quatre meilleurs challengers accèdent aux demi-finales. Les deux derniers vainqueurs se départageront dans une finale de 13 manches afin de déterminer le lauréat qui aura l’honneur d’affronter les Kiwis pour décrocher la fameuse Aiguière d’argent. Le vainqueur de chaque course marquera un point, l’autre zéro et la première équipe qui en aura comptabilisé sept décrochera le graal.

Les six équipes en lice

Le Defender: Emirates New Zealand (Nouvelle-Zélande).

Les challengers: INEOS Britannia (Royaume-Uni), Alinghi Red Bull Racing (Suisse), Luna Rossa Prada Pirelli (Italie), American Magic New York Yacht (USA), Orient Express Racing Team (France).

La finalité de antillesvoile.com est de débattre de Pratiquer la voile aux antilles en toute authenticité en vous donnant la visibilité de tout ce qui est en lien avec ce thème sur le net Ce texte est reconstitué aussi exactement que possible. Si vous projetez d’apporter quelques modifications sur le thème « Pratiquer la voile aux antilles », vous avez la possibilité de d’échanger avec notre journaliste responsable. Ce dossier autour du sujet « Pratiquer la voile aux antilles » a été trié en ligne par les spécialistes de la rédaction de antillesvoile.com En consultant de manière régulière notre blog vous serez informé des futures parutions.

Partis d’Étel, ils feront le tour de l’Atlantique pendant un an : « La première fois qu’on part aussi loin

L’appel du large et de l’aventure, pour cinq quadras dont plusieurs ont des attaches ételloises. Ce mercredi 28 août, à la marée, ils ont hissé les voiles pour un an de navigation à travers l’Atlantique.

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